La forêt enchanté du clan d'Onyx

Et encore une fois seul, dans la forêt. Cela arrivait de plus en plus frécament ces temps ci. Mais je savais que je n'étais pas la seul à quitter le camp de cette façon. Certain guerrier partait également, pour fuir. On n'était beaucoup à ressentir cela, et il n'était pas rare de croiser un chat ennemi au frontière. Tous le monde était à l'affut d'une menace invisible. Et moi qui ne dormait plus. J'avais du mal à tenir sur mes pattes. J'étais fatiguée en toutes circonstances, mais je ne voulais pas dormir. Pas pour entendre encore et encore ces voix lointaines me dire que j'accomplirais une prophétie dont je n'avais aucune idée. Alors, pour chasser la fatigue, je marchais sans but dans cette foret qui mourrait lentement, au rythme des saisons.
Le vent ne soufflait pas, et les arbres étendait leurs ombre sur le sol.
Soudain, une chatte noir apparut devant moi, comme par magie.
Je reconnue facilement Plume des Ténèbres. Elle ne semblait pas bien.

-Plume des Ténèbres ? Il y a quelque chose qui ne vas pas ? 

-Je ne sais pas, il y a quelqu'un dans la forêt mais qui, je ne sais pas. Il n'est pas de notre camps et il y avait une odeur bizarre.  Je ne sais pas mais c'est étranges, les feuilles change un peu de couleurs comme si quelqu'un avait le pouvoir de notre forêt qui lui obéissait .

Un frisson remontas le long de ma colonne vertébrale. Plume de Ténèbres avait raison. C'était comme si la forêt s'était retourner contre nous. Plus les nuits s'allongeait à l'approche de l'hiver, plus l'ambiance devenait glaciale. Et, plus la mauvaise saison arrivait, plus les Clans était faible. Au sein de l'Onyx, je le savais, nous avions besoin de sang neuf.  Hélas, aucun chatons n'était née cette saison des feuilles mortes, et, je savais qu’Étoile d'Automne ne me baptiserait pas avant bien des lunes. Le vent se mit à souffler plus fort. Plume des Ténèbres s'était tue. Bizarrement, j'avais envie de pleurer. Je pense que j'étais trop pleine. Pleine de sentiment que je n'arrivais pas à dompté. La colère, la peur, l’appréhension.... J'aurais voulus hurlé ma peine et ma douleur. Je ne le fit pas. Le soleil continuas à descendre, et les premières étoiles apparurent. Je n'étais pas bien. Nous avions continuer à marché sans but, la guerrière et moi. Puis, sans savoir pourquoi, je prononçais cette phrase sans queue n'y tête.

- Nous sommes dans l'ombre. La lumière à cesser de nous éclairer. Nous devons mener notre barque tous seul, et cela me terrifie.