Coucou à tous! :fiiirstme:
Ben voila, j'aime beaucoup écrire, et inventer, des histoires, mais tous particulièrement décrire des lieux.
Ici, je vais donc exposer quelques unes de mes descriptions, j'éditerais au fur et à mesure.
Aussi, comme l'ont demandé les autres, j'aimerais que l'ont ne s’approprie pas mes textes, car si je m'aperçois que quelqu'un l'as fait je n'hésiterais pas à le dénoncer pour plagia.
Alors pour commencer, une description, mêler à une histoire ( j'affectionne tout particulièrement la description, mais bon...):
Pissenlit
Le coucher de soleil était magnifique. Au loin l’astre couchant émettait une douce lumière, il était à moitié cacher par de longs cirrus blanc, qui par leurs dessous était bleu. La saison était douce, il ne faisait ni chaud, ni froid. J’adorais ces moments, surtout avec lui. Surtout quand un si beau spectacle s’offrait à nous.
Surtout quand dans les vastes vallées fleuries de muguet éternels et de fleurs colorées de rouge, de jaune, de bleu et de violet dont les noms était inconnu du commun des mortels. Qui en leurs centres couraient plusieurs ruisseaux à l’eau pure scintillant à la lumière chaleureuse du soir, qui frémissait de poisson multicolores. Et qui étaient entourées de collines couvertes de jeunes bouleaux, qui en leurs somment trônait un chêne majestueux qui semblait être plusieurs fois centenaires.
Il soufflait dans un pissenlit fleuri pour en faire virevolter les graines dans mes longs et doux cheveux châtain clair, au reflet or
Habillé d’une légère robe d’été de lin blanc, je marchais, pieds nus, dans l’herbe fraîche du crépuscule. Lui une chemise blanche, en lin, avec un pantalon en toile beige, il était sublime. Il était proche de moi, à peine un peu en retrait. Des fois il se laissait distancer pour admirer les innombrables merveilles de la nature qui nous entouraient. Il revenait toujours vers moi d’un pas rapide, sans jamais me dépasser. Les rares fois où je l’attendais, ou je me rendais compte qu’il avait disparu, nous restions de longues minutes à nous regarder, ses yeux bleus lagons, dans mes yeux vert indescriptible, d’après lui. C’est à moment que cette étrange sensation s’emparait de moi, un mélange incertain d’amour, d’amitié et de ... oui, oui de pitié, de miséricorde, envers lui. Tant de choses nous rapprocher et tout autant nous rappeler le terrible sort qui s’abattait lentement, mais inexorablement, sur nos vies.
Il me sortit de mes pensées avec l’une de ses phrases tout aussi touchante qu’étrange.
Lui : « C’est ridicule de dire à quelqu’un qu’il est « notre edelweiss », ces fleurs ne sont pas aussi belles que l’on le prétend. Il fit une pause, et reprit. Moi je préfère le muguet, il accompagna ses paroles d’un geste et cueilli un brin de muguet, il me regarda, et me tendit le brin, dorénavant je t’appellerais « mon brin de muguet », même si tu es plus mignonne que lui, il désigna le brin de muguet, il te ressemble plus que cette fleur des montagnes. »
Voilà, plus besoin de se poser la question, je sais pourquoi je me suis éprise de lui.
Nous marchâmes un long moment, et j’en étais heureuse. Chaque secondes passées avec lu me semblait plus douce que le paradis. Enfin nous arrivâmes à la sortie de ce monde plus que merveilleux, ce gigantesque saule pleureur, verdoyant et bienveillant.
Je ne voulais pas le traverser, car c’est ici que s’achèverait notre magnifique promenade, c’est ici qu’il me dirait une fois de plus « C’est ici que nos chemins se séparent. A la prochaine ! »
Et voilà, en guise d’adieux j’aurais ceci, et rien d’autres, cette phrase qui me laissait entendre qu’il y aurait une prochaine fois, certes, mais dans combien de temps ? Pendant combien de jours et de nuits devrais-je espérer avoir un de ses signes m’indiquant qu’aujourd’hui nous pouvions, pour la énième fois, nous promener dans ce paysage trop beau pour être visible par le commun des mortels.
Mais la vie est une coquine, qui parfois vous donne un coup de pouce ! Ce jour-là, à la place de me balancer sa phrase devenu courante, il me proposa quelque chose dont je me suis ravie.
Comme s’il s’apprêtait à me parler normalement, il se tourna vers moi et, les yeux pleins de malices et un légers surir naissant au coin droit de sa lèvre, ce qui est bon signe, me proposa ceci : « Que dirais-tu de rendre visite à Mismos ? »
J’avais envie de lui crier à au moins 100000 décibels que oui, j’étais prête à tous pour ne pas me séparer de lui, même à prendre un avion pour une île perdue dans l’Océan Indien, ou s’il le fallait pactiser avec le Diable et lui vendre mon âme, si possible après mes heureux jour avec lui. Mais je n’ai finalement dit que : « Oui, ça serait super ! » J’y ai évidemment rajoutais une pointe de joie !
J'attends vos critiques avec impatience!